Onigiri Salami
Messages : 1337 Date d'inscription : 12/05/2011 Age : 29 Localisation : Bordeaux.
| Sujet: OS n°1 -- août. Sam 25 Juin 2011 - 23:39 | |
| Début le Mardi 28 Juin !! Le principe est simple : s'incrire / envoyer son os / voter Deuxièmement qu'est-ce qu'un OS pour les ignorant 8D >> une histoire d'un chapitre / une nouvelle en gros. Alors, Pour débuter l'OS du mois voici les consignes : Genre : amour. Couples : au choix (hétéro, bi...) Chute : avec ou non. Détails : je voudrai un amour impossible genre... arg... comment dire... deux personnes s'aiment mais quelque chose fait qu'ils n'ont pas le droit de s'aimer. (si vous voyez pas demander moi xD) Je demanderai à chaque personne qui s'inscrivent de le dire à la suite de ce message.
Inscription : Off. vote : Off.
Les OS sont à m'envoyer par MP avant le 14 juillet date à laquelle je les posterai ici & vous pourrez commencer à voter jusqu'au 28 du même mois. Participants :- Line. - Emi.(-sors :D) - Onigiri. - Sioux. - Selene. - Yoyo ~. - Lenaa. Edit : voici les OS... - Line.:
Fiancé...? C'était une chaude journée d'été et le soleil était à son Zénith. Dans le jardin d'une petite villa de style classique était suspendu, entre deux orangers, un hamac bleu. ciel. Dans ce cocon se trouvait une jeune fille aux yeux tristes et à la figure comme décomposée par la tristesse. Sa mère la regadait par le baie vitrée de la maison jaune, elle était très inquiète. Cale faisait maintenant dix jours que sa fille se mettait tous les matins de leur hamac, et n'y sortait quasiement pas de la journée. Sa mère avait déjà essayé de discuter avec sa fille, lui dire que ce n'était pas normal de passer ses vacances d'été dans un hamac au fond du jardin. Mais sa fille l'avait regardée comme si elle lui demandait d'aller travailler pendant les vacances et était retournée dans son hamac. - Mai! l'appela sa mère. Mai sortit de mauvaise grace de son hamac pour se trainer jusqu'à la terrasse. - Mai, viens, j'ai pris rendez-vous avec un psychologue. Mai la regarda avec horreur, lui tourna le dos, prête a repartir au fond du jardin. - Non, s'il te plait, laisse moi t'expliquer l'implora sa mère. Mai se retrouna, la regarda et attendit son explication. - Tu sais ce n'est pas normal, au début des vacances tu sortait beaucoup non ? Avec cette Misato et un certain... Shin c'est ça ? Entendre son prénom serra le coeur de la jeune fille plus qu'elle ne voulait l'admettre. Elle essaya de reprendre un visage neutre et dit d'un ton léger : - J'allais justement aller faire du vélo aujourd'hui, tu comprends j'en avait marre de rester dans mon hamac. Sa mère la regarda, peu convaincue mais lui fit quand même un sourire d'aprobation. Mai fut donc obligée de sortir chercher son vélo dans la cabane de jardin, tout ça avec le sourire pour convaincre sa mère que tout allait bien. Elle commencait à se diriger vers la ville, mais c'est là qu'elle croisa les personnes qu'elle avait le moins envie de voir, les personnes à cause des quelles elle était restée dans son hamac pendant si longtemps. Ils étaient main dans la main, Rina arborait un sourire radieux, lui, Shin, il paraissait... ni heureux, ni malheureux. Un peu comme elle ces derniers temps songea-t-elle. Mais plus elle se rapprochait d'eux, plus les souvenirs des premières semaines des ces vacances remontaient à sa mémoire. Shin et elle dans le parc, au bord du lac, main dans la main,... Mais remonta aussi ce terrible soir, celui ou Shin lui avait annoncé ses... fiancailles. Ce mot la dégoutait. Shin ne paraissait pas si mlaheureux de se fiancer avec cette Rina, il paraissait même s'en contenter. Tout d'un coup Rina tourna la tête dans sa direction et la vit. Elle lui jetta un regard triomphant et rejeta sa chevelure blonde en arrière. Lui aussi la vit quelques secondes plus tard, mais il détourna vite le regard pour regarder celle qui était pendue à son bras. C'est vrai qu'elle était jolie cette Rina songea Mai, elle avait de longs cheveux blonds, de grands yeux gris et était fine. Tout le contraire d'elle qui avait les cheveux bruns, des yeux verts, et qui était ni fine ni grosse. Une fille normale, on ne se retournait pas sur son passage mais on ne détournaitn pas non plus les yeux quand on la voyait. Un quart d'heure plus tard Mai était déjà retournée chez elle, dans son hamac. A l'interieur de la maison le téléphone sonna et sa mère alla répondre. - Oui ?... Oui elle est bien ici. ... Vous la passer ?.... Bien sur je comprend .... Je vais vous la passer.... De rien... La mère de Mai se rendit dans le jardin en tendit le téléphone à sa fille avec pour seuls mots : - Pour toi. Mai prit le téléphone en reconnu immédiatement qui était au l'autre bout du fil. Cette voix qu'elle aimait tant, elle l'aurait reconnue entre mille. Shin. - Mai tu es là ? demanda-t-il. -... - Je vais prendre ça pour un oui, je voulais te dire... t'expliquer.... c'est compliqué, rejoint moi ce soir tu veux ? -... - Je comprendrai si tu ne venais pas, mais je n'aime pas te voir comme tu étais aujourd'hui, vide, sans émotions. -... - Je veux t'expliquer, je vais tout faire pour arranger les choses je te le promet! Rejoint moi ce soir au parc à 18 heures sur notre banc tu te souviens de notre banc ? -... - Et bien à ce soir je l'espère, je t'en prie, viens! l'implora-t-il. Mai racrocha la première, elle ne voulait pas y aller, cela lui ferait trop mal. Elle se souvenait de leur banc, evidemment, elle se souvenait de chaque minute passée avec lui dessus. Elle se souvenait qu'à l'époque quand elle se trouvait avec lui elle était joyeuse, elle rigolait inscouciemment, elle l'aimait tout simplement. Sa mère s'approchait d'un pas décidé d'elle. - Mai, je suis désoée d'y avoir été contrainte mais ça n'allait plus, j'ai écouté votre conversation au téléphone lui avoua sa mère. La jeune fille la regarda, choquée. Elle n'avait pas le droit, c'était sa vie, elle faisait ce qu'elle voulait! - Maman comment as-tu osé ? cria Mai. - Et bien c'était ton premier appel depuis je ne sais combien de temps, et ce garçon paraissait vraiment inquiet, je me suis permise de vérifier si tu ne l'envoyais pas bouler. Mais tu as fait pire! Tu es restée muette, tu ne lui as rien dit lui qui t'appelait gentillement pour te proposer un rendez-vous. - Tu ne sais même pas pourquoi il voulait me voir Maman, te mêle pas de ma vie! cracha Mai. - Ce soir, je vais t'emmener à ce rendez-vous, compte sur moi. Je t'ai laissée tranquille pendant ces dix jours ou tu faisait la larve au fond de ton hamac. Mais crois moi ce soir tu vas y aller! - Tu ne peux pas m'y forcer s'obstinait Mai. - Oh qui si je le peux, et c'est exactement ce que je vais faire, sois prête dans une heure conclu sa mère. Mai décida finalement de laisser tomber, quand sa mère avait une idée en tête il était inutile de l'en dissuader. Une heure plus tard Mai était à l'arrière de la voiture de sa mère. Elle ne s'était pas changée, pas douchée, pas maquillée ni rien. Ca ne servait à rien pensait-elle. Il avait commencé à pleuvoir dans la soirée mais Mai n'avait pas pris de parapluie. Elle ne comptait pas rester bien longtemps là-bas. Sa mère la déposa devant le parc, lui dit qu'elle avait intérêt à aller à ce rendez-vous, sinon elle pouvait faire une croix sur des vacances tranquilles. Mai se rendit donc au banc qui le rappelait tellement de bonnes choses. La pluie goutait sur ses cheveux mais elle s'en moquait Quelques minutes plus tard elle vit une silhouette floue s'avancer dans sa direction. Elle le reconnut immédiatement, ses cheveux noirs ,ses yeux bruns chocolat et sa silouhette fine. Dès qu'il la vit, il courut vers elle pour l'abriter sous son parapluie noir. Il paraissait très étonné de la trouver ici, mais aussi très heureux. - Tu es finalement venue sourit-il. - Ma mère éluda-t-elle. - L'important c'est que tu sois là, tout d'abord, je voulais m'excuser, tout est de ma faute. Je n'aurais pas du laisser mon père me fiancer à cette fille. - Si tu es heureux c'est l'essentiel dit-elle d'une voix triste en commençant à partir. Cette discussion lui révéillait des souvenirs qu'elle aurait préféré oublier, effacer. Il la ratrappa par le bras pour continuer son explication : - Je n'ai pas eu le choix, mon père m'a fiancé sans me demander mon avis. Il a fait ça du jour au lendemain, dès qu'il a appris que nous... nous étions ensemble, Je n'en ai pas compris la raison tout de suite, ce n'est que quand j'ai entendu mon père se disputer avec ma mère que j'ai compris. Il était question d'un certain Daiki Fujimoto. Ton père et mon père se connaissaient à l'époque, mais ton père avait trahi le mien pour je ne sais quelle raison et il ne lui l'avait jamais pardonné. Mon père avait une telle rancune envers le tien qu'il ne voulait que je fréquente aucun membre de ta famille. C'est pourquoi il m'a fiancé à la première fille jolie et de bonne famille qu'il a trouvé. Je ne voulais pas te faire de mal, mais je n'avais pas encore le courage de m'opposer à mon père. Mais quand je t'aie vue cette après-midi, je me suis sonvenue de tous les bons moments qu'on avait passés ensemble, tu riais, on était heureux. - On s'aimait... lacha Mai - Oui... cet après-midi je suis allé dire à mon père que je ne voulais me pas marier avec Rina, que ses querelles vieilles d'il y a vingts ans ne me concernaient pas, que c'était ma vie et que pouvais la mener comme bon me semblait, qu'il n'avait pas à s'en mêler. Il n'avait pas l'air content mais il m'a laissé partir. Je lui ai aussi dit que... que... que je t'aimais Il s'approcha d'elle, lacha le parapluie, et l'embrassa.
- Emi:
Lié Dans un monde, bien plus lointain que le notre, vivait des êtres bien plus qu’étrange. Mais qui habitait dans ce monde me demanderiez-vous ? Et bien, c’était des personnes nous ressemblant, mais pourtant si différentes de nous. La seule chose que nous n’avions pas en commun était leur planète et leurs pouvoirs. Des pouvoirs ? Et oui, ces êtres en avait. Chacun en recevait un à la naissance. Mais se que nous ne savions pas, nous, les terriens, c’était que nous avions chacun, un de ces êtres qui veillait sur nous et à qui nous étions lié. Dans un village reculer du Japon, une jeune fille aux cheveux blond d’or ne passait pas inaperçu dans le coin. Quand tout à coup, elle bouscula une personne. - Tu ne peux pas faire plus attention ? gueula le passant - E-Excusez moi, bégaya la blonde. L’homme ne fit pas attention à ses excuses et partit. Cette dernière gênée voulut à tout pris se faire pardonner par le passant et lui courut après. Quand celui-ci remarqua la demoiselle, fâché, il tenta de la frapper, quand quelqu’un le stoppa. - On ne frappe pas les demoiselles, voyons, dit un jeune homme en repoussant le poing. L’homme soupira puis partit. La blonde, encore un peu sous le choc, se mit à trembler. Elle venait de réaliser à quel point elle avait eu de la chance. - A l’avenir fait plus attention, dit son sauveur. Celui-ci partit à son tour, mais hors de question pour la demoiselle de le laisser partir sans l’avoir remercier. Elle prit alors son courage à deux mains pour lui dire. - M-Merci !! cria la blonde. Son sauveur, surprit, se retourna et lui adressa un sourire. Puis, il la salua avant de continuer son chemin. « Mince ! J’ai oublié de lui demander son prénom » se dit-elle. Quelques jours passèrent, et la demoiselle était bien décidée de connaître son nom. Et puis, elle voulait devenir son amie. Malgré toutes les recherches qu’elle fit, elle ne le trouva pas. Triste, elle entra dans un bar. Une fois à l’intérieur, elle le vit ! Oui, il était là, en train de rire avec des amis. Des amis, ce qu’elle n’avait jamais eu. Elle n’osait pas l’approcher, c’était pour cela, qu’elle décida de sortir du bar. Quand une vois l’interpella. - Et toi ! La blonde ! cria une voix. - Hein ? se dit la fille tout en se retournant. - Je ne sais même pas ton prénom. s’exclama la personne tout en souriant. Il fallut un bon moment à la blonde pour réaliser qu’il était la, devant elle. Celui qu’elle voulait tant revoir. - Yume. Tomoe Yume, s’exclama la demoiselle. - C’est un joli prénom, sourit le jeune homme. - E-Et le votre ? hésita-t-elle - Fujii Daiki. Sur ces paroles, Daiki lui proposa de rester un moment avec lui et ces amis. Yume accepta sans hésiter. La soirée se passa bien et la blonde venait de se faire des amis. Pour la première fois de ça vie, cela l’avais rendue heureuse. En fin de soirée, le jeune homme lui proposa de la ramener chez elle. - J-Je peux rentrer seul tu sais, dit la blonde d’un air gênée. - Mais si, mais si, insista Daiki. Sans avoir le choix, Yume dût rentrer avec lui. Le problème arriva quand il lui demande où elle habitait. Celle-ci hésita longuement avant de répondre. - Euh… Tu peux me laisser là tu sais… - Non ! Je ne vais pas laisser une demoiselle rentrer seul le soir, dit-il en souriant. - Non ! Vraiment, laisse moi ici, insista Yume. - Non, je ne te laisserai pas toute seule ! La blonde insista encore et encore. Mais en vint, Daiki n’était pas prêt de la laisser seule. Et c’est pour cela qu’il ne lâchait pas l’affaire. - Pourquoi ne veux-tu pas que t’accompagne, questionna-t-il. - Car je peux rentrer seul… répondit-elle. - Je veux la vraie raison. Yume hésita vraiment à lui répondre. Elle n’avait pas de maison, comme elle était arrivée ici il y a peu. Elle n’habitait nulle part, elle dormait juste dans un parc, chaque soir. C’est ce qu’elle dit à Daiki. Ce dernier, ne sachant pas quoi dire lui proposa de loger chez lui. Malgré ce geste, la blonde refusa. Elle ne voulait plus être aidée, mais aider elle à son tour. Le jeune homme, à contre cœur, du avouer sa défaite et il rentra chez lui, seul. Le lendemain, quant la fille se réveilla, elle fut surprise, très surprise. - M-Mais que fais-tu là ? demanda-t-elle - Je t’ai apporté à manger, dit-il en souriant et en lui tendant la nourriture. - M-Merci. La blonde rougissait à vu d’œil, et Daiki le remarqua. Yume commençait à manger. Du pain et du chocolat, cela semblait lui plaire. Le jeune homme avait l’air heureux d’avoir pu faire plaisir à la demoiselle. Ce dernier ce permit même de lui redemander si elle voulait bien loger chez lui. Et cette fois-ci, insister lui avait été efficace, la blonde accepta tout en rougissant. Une fois chez Daiki, Yume ne put s’empêcher d’aller partout dans l’appartement pour visiter. Une fois calme, elle s’assit sur le canapé à côté de son nouveau colocataire. Celle-ci ne pouvait plus se retenir et commença à observer Daiki. Il avait des cheveux bruns et des yeux verts. Il était plutôt grand et assez fin. Plus elle le regardait, plus elle le trouvait attirant. - Ça t’amuse de m’observer, dit-il tout en souriant. La blonde ne sachant pas quoi répondre se contenta de rougir. De plus, elle trouvait son sourire vraiment craquant. Elle découvrit aussi un sentiment, qu’elle n’avait jamais connu auparavant. Une sensation étrange venant d’elle, de son cœur. Elle se sentait vraiment bizarre et elle courut dans la salle de bain, laissant Daiki, seul, à s’interroger sur ce qu’elle avait. Yume ouvrit le robinet, pris de l’eau et se la mis sur le vissage, acte qu’elle répéta plusieurs fois. Elle releva la tête pour se voir dans le miroir. Son visage était rouge. « Q-Que m’arrive-t-il ? » se questionna la demoiselle. De son côté, Daiki commençait à trouvé que la blonde m’était un temps fou. Inquiet, il alla dans la salle de bain. - Yume ça va !!? La jeune fille, surprise, se retourna. Elle le savait, elle était encore rouge comme une tomate. Ne voulant pas rester comme cela devant Daiki, elle s’excusa et lui demanda de la laisser un moment seule, ce qu’il fit. Yume s’écroula sur le sol. Elle ne comprenait pas pourquoi elle n’osait plus regarder Daiki dans les yeux. « E-Et si c’était ça l’amour… » se dit la blonde. Plus les jours passait, plus les deux se rapprochait. Pourtant, Yume continuait à éviter son regard, pour s’éviter de rougir. - Yume, je peux te parler ? demanda Daiki. - O-Oui, dit-elle tout en rougissant. - Je… Je t’aime, murmura-t-il. Sur ces paroles, Yume ne put s’empêcher de rougir, cela la rendait heureuse. Mais, malgré ça, elle n’osa pas répondre. La nuit tomba, pendant que les deux dormaient, une voix en réveilla un… « Tu ne peux pas l’aimer…. Tu ne peux pas… » disait la voix. Cette voix continua à parler encore et encore. Puis rajouta une phrase qui paralysa la personne réveillée. « Sa fin approche et la tienne aussi, si tu continu à l’aimer… » rajouta-t-elle Durant le reste de la nuit, ces paroles torturèrent l’esprit de la personne. Le lendemain, tout se passait normalement. Malgré cette nuit mouvementée qui se répéta encore et encore durant plusieurs jours. Daiki et Yume commençait à ne plus être aussi proche qu’avant. Quand à cette, voix, cette nuit-la, elle était revenue… « On te la assez dit non ? Tu ne peux pas aimer un humain et encore moins l’humain avec qui tu es relié, tu le sais nom, cet amour te détruira et l’humain par la même occasion. Ahah. » dit la voix tout en ricanant. Et les jours d’après, elle revenait encore, encore et toujours. Elle rajoutait à chaque fois des éléments en plus. « Ton humain se fera tué tu sais. Dans moins d’une semaine. Ahahah. » dit la voix tout en riant. La fin de semaine arriva enfin. Yume, décidée de se faire pardonner, proposa à Daiki de sortir se promener. Celui-ci hésita un peu, mais finit par accepter. Ils allèrent vers le parc, où la blonde dormait les première fois quand elle était arrivée ici. Le jeune homme proposa à celle qu’il aimait de s’allonger dans l’herbe, ce qu’elle fit avec un joli sourire. - Tu sais… commença la blonde. - Hum ? s’interrogea Daiki. - J-Je crois que je suis tombée amoureuse de toi… s’exclama-t-elle tout en rougissant. Daiki approcha gentiment son visage de celui de la jeune fille qui avait le cœur qui battait à 100 à l’heure. « Ce geste fera perdre la personne que tu aimes et toi par la même occasion. Ahahah. » ria la voix qui était de retour. Malgré les paroles de la voix, Daiki embrassa Yume avec passion. Mais celle-ci finit par le repousser. - N-Non… Daiki j-je ne peux pas… Désolé… dit Yume tout en commençant à pleurer. - Y-Yume ? s’inquiéta le jeune homme. Yume n’eut le temps de lui expliquer la raison. Que des flammes leur arrivaient dessus. Daiki eut comme réflexe de protéger sa blonde, mais celle-ci le poussa. Sans rien comprendre, le brun vit Yume faire des gestes bizarres avec ses mains tout en prononçant des phrases étranges. Puis, sortit de nulle part, des milliers de goute d’eau qui éteignirent le feu. - Yume… C’était quoi ça… - D-Daiki… D-Désolé… Après ce petit incident, une personne, assez suspecte, sortit des buissons. C’était sans doute la personne qui les avait attaqués plutôt. Mais plus la personne s’approchait, plus nos deux jeunes amoureux semblait la reconnaître. - V-Vous !!?? s’exclama Yume. - Il faut avouer que la première fois que je t’ai vue, on n’aurait pu croire que tu étais une simple humaine, dit la personne. - M-Mais que nous voulez-vous ? l’interrogea-t-elle - Mes avertissements ne t’ont pas suffit ? Yume ne put répondre, que l’homme sortit un pistolet et tira. Un bruit retentit, suivit de cris de tristesse et de désespoir. - Et un de moins, s’exclama l’homme - M-Mais qui êtes-vous ?? demande Yume en sanglot. - Qui suis-je ? Cela n’a pas d’importance, puisque tu vas mourir. La blonde tenta de fuir. Tout en pleurant toute les larmes de son corps, elle n’avait pu sauver cette personne, qui pourtant était liée à elle pour des raisons inconnues à ce jour. Malgré qu’elle courut toute ses forces, cela ne lui servit à rien. Car cette dernière s’écroula en deux seconde, après avoir reçut une balle en plein cœur… - Mon nom tu disais ? dit l’homme en s’agenouillant près de Yume. Je suis Tomoe Kei, ton père. Sur ces paroles, le dénommé Kei disparut. Il partit sans doute rejoindre se monde. « Je t’avais prévenu, cet amour te mènerais à ta perte. Ahahah. Tu n’étais pas au courant, aimé celui dont on est lié est pourtant interdit. Et tu sais pourquoi ? Tout simplement car cet amour pourrait détruire le secret de notre monde. » dit la voix, tout en riant. FIN [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
- Yoyo~:
''Il était une fois, dans un petit château, vivait un jeune prince qui rêvait d'une seule chose... De trouver l'amour.
Alors, il partit sur son cheval blanc, et galopa, galopa, galopa, jusqu'à qu'il tombe sur une auberge. (BOUM xSort-) Il entra, et vit une magnifique jeune fille venir à lui :
- Bonjour, vous voulez quelques chose ? demanda la jeune fille qui était une serveuse.
- Oui, je veux vous demander si vous voulez m'épousez.
- Oh ! C'est la première fois qu'un inconnu me demande en mariage, mais.. Oui j'accepte !
Alors, il emmena la jeune fille sur son cheval et ils disparurent sous le soleil couchant.
Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfant'' The End
Luna jeta son livre de conte par terre.
- Tss, non mais c'est n'importe quoi !! cria-t'elle, la vrai vie est beaucoup plus difficile !! J'arrive pas à croire qu'ils arrivent à mettre ces débilités dans un livre pour enfant !
Sa mère, qui passait dans le couloir, regarda à travers la serrure de la chambre de sa fille.
- J'en ai marre !!! Pourquoi est-ce que la vie est toujours comme ça ?!! Hurla Luna les larmes aux yeux.
Son frère, qui passait dans le couloir, vit sa mère regarder à travers la serrure de la chambre de sa sœur. Il la rejoignit.
Les deux observateurs étaient surpris. Pourquoi est-ce qu'elle était si énervé à cause d'un livre ?
Luna commença à se calmer, elle s'effondra sur son lit, et sanglota un peu.
La vie de Luna était loin d'être super :
Tout d'abord, elle était folle amoureuse de son meilleur ami, Kazu.
Deuxièmement, sa ''meilleure amie'', Shizu, était folle amoureuse de lui aussi.
Troisièmement... elle s'était disputé avec elle à cause de ça. ''Kanashige ni saku hana ni
Kimi no omokage wo mita... Bip''
Luna prit son portable, et décrocha.
- Allo ? - Luna… dit une voix féminine - Quoi ? -Je suis vraiment désolée pour ce qui c'est passée avant, Continua la voix, Mais tu vois, Kazu et moi… - Quoi encore ? Je sais que tu l'aime ! Je sais que je ne dois plus l'approcher, tu me l'as dit avant. Et pourquoi tu m'appelle ? Je pensais que tu voulais plus me voir Shizu !!
Luna perçut des petits sanglots dans son téléphone.
- ... Je sais, je n'aurais jamais dû te dire ça... C'est pour ça que je t'appelle, pour m'excuser et pour te dire que je me suis déclarée. - Qu.. Quoi ? Mais… Déjà ! Mais.. - Luna ! Tu sais très bien que je l'aime plus que tout au monde ! - Comment peut tu dire ça ?! Moi aussi je l'aime plus que tout ! Si tu m'appelle pour me faire souffrir encore.. - Non ! Je voulais juste te prévenir, pas que tu sois surprise ou que tu t'énerve contre moi devant tout le lycée. - … Bien, soyez heureux tous les deux… - Merci de me comprendre Lun-
Luna raccrocha, ne voulant entendre la suite. Elle n'arrivait pas à y croire, sa meilleure amie était tellement cruelle avec elle. Kazu et Luna se connaissaient depuis longtemps déjà. Ils avaient grandi ensemble, ils restaient toujours ensemble… Jusqu'à que Luna rencontre Shizu. Elle avait tout gâché, à cause d'elle Kazu et Luna s'étaient disputés et depuis ils ne se reparlaient que très rarement. Luna en voulait à Shizu, mais elle n'arrivait pas à la détester…
Luna alla se coucher, mais n'arrivant pas dormir, elle se remémora tous les beaux souvenirs qu'elle gardait enfouit au fond d'elle. Tous ses magnifiques moment passé avec Kazu, ils semblait si proche mais ils remontaient à longtemps maintenant.
Le lendemain, Luna arriva au Lycée, fatigué de sa nuit pratiquement blanche. Elle redoutait le moment où elle reverra Shizu, celle-ci devait être dans tous ces états, vu qu'aujourd'hui elle allait voir l'homme de sa vie.
''Tss, n'importe quoi !'' Pensa Luna. ''Je suis sur qu'elle va me faire chier pendant toute la matinée avec son soi-disant ''trac'', comme si j'avais que ça à faire ! ''
En arrivant en cour, Luna s'assit à sa place, mais elle n'aperçu pas Kazu. Puis Shizu fit son apparition, elle se dirigea vers Luna en colère.
- Luna ! Pourquoi est-ce que Kazu n'est pas là ?! - Je sais pas. Répondit Luna calmement -Tu devrais savoir pourtant ! C'est ton meilleur ami ! - Tu dois savoir mieux que moi non ? Ironisa-t'elle. C'est ton petit-ami Shizu !
Shizu ne répondit pas et rejoignit sa place, folle de rage.
''Bizarre'' Pensa Luna. ''Est.ce que par pur hasard, Kazu l'aurai jetée ?'' Elle sourit à cette pensée.
La journée se déroula normalement, sans encombre ni problème particulier, il y avait quand même un truc bizarre : Kazu n'était toujours pas là ! Luna était inquiète, même si Kazu aurait pu être simplement malade, elle avait un mauvais pressentiment. En sortant du lycée, elle reçu un appel de sa mère. Elle lui annonçait que Kazu avait eu un accident de voiture et qu'il était à l'instant à l'hôpital.
-Quoi ?!! Cria Luna les larmes au yeux. Mais… Mais… Oh non ! Il faut que je le voie !
Puis elle raccrocha, ne laissant pas sa mère répondre. Elle courut à travers les immeubles, et les pâtés de maison. Il commença à pleuvoir, mais elle ne ralentit cependant pas. Arrivé à l'hôpital, elle demanda en vitesse le numéro de la chambre de son ami, effrayant au passage la secrétaire qu'il l'avait pris pour une folle dingue, c'est ce qu'elle était en ce moment pourtant. Elle courut jusqu'à la chambre et ouvrit la porte à la volée.
Il était là…
Kazu était allongé, endormis, sur un lit blanc recouvert d'une couverture bleue. Une minerve lui couvrait le cou, un plâtre tenait son bras cassé et un bandage enroulait sa tête. Il avait l'air très mal en point. Luna s'approcha de lui et le regarda de plus près. Ses cheveux était toujours aussi brun et sa peau était presque transparente, tellement elle était blanche. Il était magnifiquement beau. Elle s'assit et imagina ses yeux d'un bleu océan l'observer, aussi elle s'endormit suite à la courte nuit qu'elle avait passée.
Une voix la réveilla, une voix douce et masculine.
- Luna… Réveille toi ! - Hein… Quoi ? Elle leva la tête. - Luna, c'est vraiment gentil d'être passé me voir, sourit Kazu. - Kazu… Je suis désolée de te déranger, je sais qu'on est en plein conflit mais… - Chut Luna, souffla Kazu. Tu sais, ça me fait très plaisir de te voir. Luna rougit suite à ses mots et détourna la tête. - Alors… On fait la paix ? Demanda Kazu - … Oui
Ils se serrèrent la main, et éclatèrent de rire. Luna était contente de le voir rire encore, ça faisait si longtemps… Et c'est là qu'elle décida de se lancer. Elle lâcha :
- Kazu… Je… Je t'aime… !
Puis elle s'empara des ses lèvres. Sous le regard surpris de Kazu. Elle le relâcha pars quelques secondes.
- Luna… Bafouilla Kazu. Tu… Tu m'aimes donc. Je n'aurais jamais cru…
Le visage de Luna devint tout rouge, elle de pencha en signe d'excuse.
-Désolé !! Je… Je n'aurais pas du faire ça !!!
- Au contraire Luna… Tu sais, moi aussi je… Moi aussi je t'aime Luna.
Elle n'en croyait pas ses oreilles, alors lui aussi ! Mais… Et Shizu ! Elle lui avait menti…
Cette fois ce fut Kazu qui l'embrassa. Leur baiser dura longtemps, à chaque seconde Luna était de plus en plus heureuse. Quand il se séparèrent, Kazu la regarda dans les yeux.
- Luna, toute fois il faudra que je t'avoue quelque chose… - Oui ? Qu'y a t'il ? - Eh bien, tu vois, suite à mon accident, les médecins ont découvert que mes blessures étaient assez graves, beaucoup plus graves que prévues. Et… Ils m'ont annoncés que…
Il reprit sa respiration, Luna était de plus en plus inquiète.
- Ils m'ont annoncés que… Je vais mourir dans 2 semaines, Luna… Souffla t'il.
Luna reçu ses mots comme une balle dans sa tête. Elle n'en revenait pas, Kazu allait mourir dans 2 semaines ! Elle tomba à genoux, abattue. Elle était tellement choquée, qu'elle ne s'aperçut pas qu'elle pleurait à chaudes larmes.
- Luna, commença t'il. Est-ce que ça va ? Je suis désolé, Luna… - … - Luna ? - Pourquoi est-tu désolé ? Se risqua Luna. Pourquoi t'inquiètes tu pour moi ? C'est de toi que tu devrais être inquiet ! Kazu ! - J'ai.. J'ai déjà passé le stade des larmes Luna… C'est mon destin, et je ne peux que l'accepter.
Luna ne voulant en entendre plus, partit en courant hors de la chambre, laissant un pauvre Kazu abandonné et triste.
Elle courut dehors sous la pluie. Son coeur lui faisait vraiment mal, et elle était trempé jusqu'aux os. Elle décida de s'assoir sur un banc pour se changer les idées. Perdue dans ses pensées, elle ne remarqua pas qu'une personne s'approchait d'elle.
- Bonjour Petite. Que fais-tu toute seule sous la pluie ? -… Pardon ? Désolé, ça ne vous regarde pas. Répondit Luna. - Dites moi, je peux peut-être vous aider
Cette personne commençait à énervé sérieusement Luna. elle se tourna vers la personne, et tomba sur une vieille dame souriante. Elle ressemblait à sa grand mère, mais celle ci était morte. Ses cheveux gris était attaché en chignon très serré, et ses yeux d'un gris nuage la regardait avec insistance. Mais Luna ne céda pas, et retourna dans ses pensées.
''Donc, Kazu va mourir, c'est pas possible, non ! C'est impossible !! Ces médecins disent n'importe quoi ! Non, non ,non, non, noooooonnnnnn !!!!!''
- Est-ce que ça va ? Recommença la vieille dame. Oh ! Mais vous pleurez ! Tenez, prenez un mouchoir et venez sous mon parapluie, vous allez attrapez froid !
Luna ne se fit pas prier et s'exécuta. La vieille dame la prit dans ses bras. Luna se sentait détendu et avait un sentiment de liberté, comme si tous ses problème avait disparu d'un coup. Cependant, elle n'arrêta pas de pleurer.
- Expliquez moi ce qui se passe ma chère, je peux peut-être vous aidez. - Sa j'en doute madame... Je crains que vous ne pouvez rien faire.
Luna expliqua quand même sa malheureuse situation. Au fil de son récit, la vieille dame n'avait piper mot, elle ne faisait qu'écouter patiemment et d'acquiescer quand il le fallait. A la fin de son récit, la vieille dame réfléchit un moment et dit :
- Je vois, je comprend ta tristesse Petite... Mais c'est ainsi, et je crois que tu ne peux rien faire malheureusement. Tout ce que tu peux faire c'est d'accepter tout ça. Maintenant, rentre chez toi et couche toi, tu as l'air très fatiguée.
- Je... Je vous remercie Madame... euh ? - Appelle moi Lucie. Sourit la vieille dame. Maintenant, vas-y.
Après avoir remercier Lucie, Luna rentra chez elle l'esprit libre malgré la situation.
Le lendemain, après les cours, bien que Shizu la regarde d'un œil soupçonneux, Luna se dépêcha de quitter le Lycée pour aller à l'Hôpital. Elle se dépêcha d'aller voir Kazu, et elle s'excusa de l'avoir laisser en plan la veille.
Maintenant, bien que leur amour ne pouvait pas être durable et était impossible, elle avait décidé d'accepter le destin de Kazu et de le suivre jusqu'au bout même si c'était dur, c'est tout ce qu'elle pouvait faire après tout. Pendant deux semaines, elle alla s'occuper de Kazu tous les jours, et elle essayait de profiter des moments joyeux en sa compagnie.
Malheureusement les 2 semaines passèrent très vite, et Kazu mourut le soir du 20 février à 20h12. Luna passa la nuit à l'Hôpital au chevet de son défunt petit-ami. Malgré son horrible chagrin, elle savait qu'elle n'aurait rien pu faire d'autre. Soudain, une main se posa sur son épaule. Elle se retourna, surprise. Et tomba sur la vieille dame.
- Alors comment te sens tu ? Lui demanda t'elle. - Triste. Et seulement triste, que voulez vous que je sois d'autre. - Viens. J'ai quelques chose à te montrer.
Luna la suivit jusqu'au parc de l'hôpital, et là, à côté du cerisier, se tenait un jeune homme au cheveux brun. Celui ci tourna a tête et esquissa un sourire. Luna sursauta de peur d'abord, puis de bonheur.
- Ka... Kazu !! Tu.. Tu es vivant !! Cria t'elle. - Non, Luna, ce n'est que son esprit, je pense qu'il veut te parler. Chuchota Lucie à son oreille.
Luna, un peu effrayé, s'approcha de l'esprit de Kazu.
- Kazu, je... - Non, tait-toi Luna. Dit Kazu avec une voix irréelle.
Luna se tut, et elle vit l'esprit s'approcher d'elle et s'emparer de ses lèvres. Bien qu'elle ne sentait rien sur sa bouche, elle n'en ressentit pas moins des émotions de bonheur et de joie.
-Luna... Dit Kazu après leur baiser. Je voulais te dire au revoir. Mais avant que je m'en aie promet moi quelque chose.
- Oui, je t'écoute.
-Promet moi que tu vivras heureuse et que jamais tu ne laisseras les autres te faire du mal, ensuite promet moi que tu tomberas amoureuse d'un autre garçon, que tu te marieras et que seulement quand tu auras bien vécu, tu viendras me rejoindre.
Sa voix devint ferme d'un seul coup, ce qui obligea Luna à obéir.
- Oui je te le promet... Kazu. Souffla Luna.
Après ces paroles, l'esprit de Kazu s'estompa peu à peu. Luna, confiante, embrassa sa main et souffla pour lui envoyer le baiser.
- Luna... Dit-il.
'' Je ne t'oublierais pas...''
Puis, Kazu disparut pour de bon. Heureux et confiant. Quand à Luna, elle vécu comme Kazu lui avait demandé. Peut-être qu'ils ont finalement réussi à se retrouver.
Qui sait ?
The End
- Onigiri:
Mortellement. Je ne le voulais pas, mais rien n’y fit l’agaçante sonnerie de mon téléphone me fit bouger & je quittais ses bras chauds en essayant de ne pas le réveiller si ce n’était pas déjà fait, je pris l’appareil & le mis à mon oreille. - à neuf heure devant l’entrepôt 13, entendais-je. Tandis qu’une main se posait sur mon épaule, je tournais légèrement ma tête vers cet homme qui me souriait, il posa un doux baiser sur ma nuque. - qui était-ce ? murmura-t-il en me voyant raccrocher. - fau numéro, mentais-je. Je vais devoir y aller. Je lui fis face & l’embrassai. - déjà ? soupira-t-il. J’acquiesçai en silence avant de me lever pour attraper ma chemise, il ne protesta pas malgré que le réveil n’affichait que cinq heures. Je m’apprêtai à quitter l’appartement quand ses doigts frôlèrent mes hanches sous le tissu blanc, il m’attira contre son tors et mit son nez dans mes cheveux bruns. - tu me manques déjà, dit-il tendrement. On peut se voir se soir ? - non, je dois dîner chez mes parents, m’excusai-je tristement. Je me détestais lorsque je lui cachais la vérité en prétextant un quelconque rendez-vous & par-dessus tout je regrettais d’être devenue ce genre de personne. Dehors, la nuit régnait encore avec un vent frais mais agréable, je me rendis à mon hôtel pour changer de vêtement & prendre une douche puis je descendis prendre un café au bar où je lisais quotidiennement le journal avant d’appeler un taxi. L’entrepôt 13 avait-il dit, un lieu sinistre qui signifiait un boulot peu joyeux, quelqu’un allait mourir dans la semaine & j’en serais responsable mais après tout, j’aimais ce travail qui m’obliger à le garder secret & à voiler mon identité. Les docks étaient déserts quand je quittai le taxi, à cet endroit les rafales étaient plus puissantes & je regrettai de ne pas avoir pris un manteau plus chaud, sans attendre j’entrai dans le hangar. On aurait pu le croire vide mais trois hommes m’accueillirent. - vous êtes en avance, mademoiselle, se moqua le gros, un cigare entre les doigts. Je l’ignorai & me tournai vers le plus âgé. - voici ton ordre de mission Aoi, tu as trois jours pour la remplir, déclara-t-il d’un ton neutre. J’ouvrai l’enveloppe un seul nom apparut sur la feuille blanche "Park Ki Joon" mais aucune photo. - je suis censée deviner qui c’est ? demandai-je ironiquement. - Gilman vous envoie les autres informations sur votre portable, intervint le troisième homme. Je me tournai vers lui, son visage ne me disait rien… - bien. Et vous êtes ? poursuivis-je. - Damen, il travail entant que taupe en Suisse, m’expliqua le vieux. Même si je ne voyais pas ce qu’il faisait ici, je me tus. Les photos arrivèrent juste après, la tête de l’homme me paraissait vaguement familière. - oh, encore une chose Aoi, ce Park essayera surement de te tuer puisqu’il a le même boulot que toi, avoua-t-il calmement, c’est possible qu’il est reçut cet ordre puisqu’il travaille pour le FBI depuis trois ans. Ils en savaient des choses & moi, une fois de plus je ne comprenais pas pourquoi nous la CIA & le FBI s’amusaient à se mettre des battons dans les roues. - tâche de ne pas te faire zigouiller je dois admettre que tu es un bon élément, toute fois, si tu ne le tues pas pour une quelconque raison, nous nous chargerons de ton cas, sourit le premier en portant son cigare à ses lèvres pulpeuses. Je le regardai en priant pour qu’il s’étouffe avec sa fumé mais rien ne se produisit, je saluai les trois hommes & quittai l’entrepôt. La voiture était toujours devant, une fois à l’intérieur j’indiquai le centre-ville au chauffeur. Tandis que nous roulions, j’étudiais soigneusement les renseignement de Gilman sur Park Ki Joon, bien qu’il n’y est pas grand-chose je savais dés lors où le trouver, mais avant je devais passer à l’hôtel pour récupérer mes affaires. En arrivant, mon portable sonna. - Kim Bun qui a-t-il ? répondis-je. - Anna, tu es libre pour un café ? partir si tôt comme ça… poursuivit-il avec un air de désespoir. - je ne sais pas… tout de suite ? demandai-je. - oui, je suis au bar en face de la sortie Ouest du parc, précisa-t-il. Je comptais m’y rendre pour Park, mais c’était risqué, je déclinai son invitation à regret & raccrochai en déboutonnant ma chemise blanche. Une fois ma combinaison mise je me dirigeais vers la bibliothèque & appuyais sur le dictionnaire, l’étagère disparut dans le mur laissant place à une vitrine où j’entreposais mes armes. Après m’être équipée je descendais dans le parking de l’hôtel pour y prendre ma moto. J’arrivai devant le parc une dizaine de minutes après, il n’y avait pas foule mais un homme à l’agonie aurait vite était aperçut, je me décidais donc à suivre ma victime discrètement sans oublier qu’il voulait ma peau lui aussi, lorsqu’il monta dans l’ascenseur seul je saisis ma chance. Après trois étages dépassaient j’arrêtai la machine. - Park Ki Joon ? demandai-je pour m’en assurer. - Aoi Fujika, je présume, ajouta-t-il. Je pointai déjà mon arme sur lui tandis qu’il se retournait. - pas un geste, dis-je en le laissant faire. - de toute façon, l’un de nous va mourir, enlève donc ce casque, j’aime voir le visage de mes adversaires, sourit-il tout en restant calme. - ordure, je ne te ferai pas ce plaisir, répondis-je. - nous ne nous sommes jamais rencontrés ? m’interrogea-t-il. Je l’observai plus en détail, il était un peu plus grand que moi, semblait muscler & le costume lui allait plutôt bien. Ses cheveux bruns avaient des reflets clairs & ses yeux gris me fixaient. Son visage m’était si familier… - je… je ne crois pas, murmurai-je. - vous permettez ? j’ai juste besoin de passer un coup de fils à ma petite amie, répondit-il en prenant l’appareil. J’aurai dû l’arrêter, mais lorsque mon propre téléphone sonna, je sursautai, sans quitter l’homme des yeux, je le pris… Kim Bun, je décrochai. - Anna… chuchota Park. Impossible, oui, c’était impossible… et pourtant il vint soulever mon casque, tandis qu’une larme descendait le long de ma joue. - oh mon dieu… tu ne peux pas être Anna… répéta-t-il la voix tremblante. - Kim Bun, je suis… désolée… finis-je par répondre en baissant l’arme. Il m’enlaça & nous nous embrassâmes, je repensai à cette nuit que nous avions passé ensemble, pas la première mais la dernière… puis notre rencontre me revint en mémoire, une rencontre banal, à l’époque j’avais faillit le tuer. Je me souvenais, je ne l’avais pas vu traverser & j’avais arrêté la moto à trois centimètres de lui, nous avions bu un café après ça pour ensuite ne plus nous quitter… et dans cet ascenseur nous découvrions que notre relation était basée sur des mensonges uniquement. Il ne s’appelait pas Lee Kim Bun mais Park Ki Joon, je n’étais pas Anna Len mais Aoi Fujika, il n’étais pas né à New-York mais à Séoul tout comme moi à Tokyo & non à Los Angeles… ses parents n’étaient pas mort mais les miens oui… tout n’était que foutaise… - Anna… je veux dire Aoi, pourquoi… recommença-t-il. Je t’ai invité deux fois aujourd’hui & tu as refusé… - je… débutai-je.. - chut, souffla-t-il en posa un doigt sur mes lèvres. Je devais te poser une question importante aujourd’hui. Tu sais laquelle ? me demanda-t-il sans quitter mes yeux. Je niai en secouant la tête alors que les larmes perlaient mes joues. - je voulais savoir si tu envisageais un avenir avec moi, si nous pouvions habiter ensemble… avoua-t-il en replaçant ma mèche derrière mon oreille. Tu aurais aimé être mienne ? - oui… répondis-je simplement. Il me donna la bague acheter pour l’occasion & nous nous embrassâmes une seconde fois. J’avais pris ma décision. - Ki Joon… je t’aime, lui dis-je en souriant. Après quoi, je lui tirai une balle en plein cœur, il s’effondra à mes pieds & je lâchais l’arme, le sang s’éparpillait sur la moquette & je m’écrouler à ses côtés en larmes, l’ascenseur redémarra. Et lorsque les portes se rouvrirent un comité d’accueille m’attendait, le plus âge s’avança, cet homme qui m’avait donné l’enveloppe un peu plus tôt pointé un silencieux sur moi. Je comprenais enfin le but de cette mission, mais il était trop tard, la balle s’enfonça dans ma poitrine. ~~ - Pourquoi avez-vous fait ça ! hurla un brun. - c’était un ordre, je n’ai fait que le suivre, se justifia un autre plus épais. - un ordre ? mais dans quel but ? N’avez-vous pas vous-même dit qu’elle était un précieux éléments ? - l’un des meilleurs… murmura-t-il, mais à présent le FBI est notre allié. - je ne comprend pas, elle avait juste à tuer Park, non ? Et depuis quand sommes nous liés à eux ? reprit le plus jeune. - les hauts placés ont signé un contrat, un de leur meilleur tireur devait être liquider pour que la paix soit établie, expliqua l’homme. - Aoi & Park… conclut le brun. - un sacrifice énorme pour les deux parties, souffla l’autre en fourrant son cigare entre ses lèvres. - c’est horrible… ~~ « séparaient même dans l’Au-delà, les amants disparurent à jamais. » Fin
Classement final : 1ère Emi (5 votes) 2ème Line (2 votes) 3ème Yoyo ~/Onigiri (1 vote) Félicitation au Poireau & créatrice du forum notre Emi-sors suisse ;p qui remporte attention roulement de tambour (oui, je sors *sors*).... Un voyage à Hawaii d'une semaine //zbaff// nan, mais faut pas rêver non plus 8D *sors*. Je disais donc, elle remporte Quatre cadeaux sur SailorFuku d'une valeur de 576 SF ! *sors*
Dernière édition par Onigiri le Mer 27 Juil 2011 - 11:40, édité 15 fois | |
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